Plus de 1400 chroniques et articles sur le cinéma britannique !
Allégement fiscal pour les productions indépendantes
Le gouvernement a introduit un crédit de dépenses pour les films disposant d’un budget allant jusqu’à 15 millions de livres
L’industrie britannique du cinéma : un succès sous le signe de la dépendance
Les investissements dans la production de séries et de films sur le territoire britannique ont atteint 6,27 milliards £ en 2022. Pour autant tout va-t-il pour le mieux outre-Manche ?
Hugh Hudson (1936-2023)
Hugh Hudson, réalisateur emblématique de « Chariots of Fire » (1981) s’est éteint à l’âge de 86 ans. Il fut à la fois le symbole d’un nouveau cinéma britannique de qualité et de son échec
The Third Day (2020)
Une mini-série de folk horror réussie, qui nage dans une ambiance malsaine constante, entre thriller fantastique, drame familial et horreur lovecraftienne
Gods of the Deep (2023)
Charlie Steeds continue son exploration du cinéma d’horreur en mélangeant cette fois-ci les influences venues de Lovecraft et de James Cameron !
Starfish (2016)
Un pari audacieux de biopic sur un quadri-amputé qui cède rarement aux sirènes du mélodrame et propose des personnages crédibles
Outlaw (2007)
Un film d’action où un groupe improbable de justiciers tente de rétablir l’ordre. Desservi par un scénario simpliste et une réalisation à côté de la plaque. Reste le casting de qualité
Split Second (1992)
Rutger Hauer en détective badass dans un film de SF horrifique situé dans un Londres qui a les pieds dans l’eau.
Link (1986)
Un thriller horrifique efficace où un chimpanzé psychopathe sème la terreur au fin fond de l’Ecosse !
The Uncanny / Brrr… (1977)
Si vous avez été toujours convaincu que les chats sont des créatures maléfiques, ce film est fait pour vous ! Un bon exemple tardif de film d’horreur à sketches
Ladies Who Do (1963)
Une comédie sociale satirique où des femmes de ménage s’initient à la haute finance pour ne pas se faire expulser de leur quartier
Moby Dick (1956)
Entre film d’aventures lyrique et drame métaphysique aux allures shakespeariennes, le souvent mésestimé « Moby Dick » fait partie des classiques signés John Huston
The First of the Few (1942)
Un excellent film de propagande, porté par Leslie Howard, qui raconte la vie (romancée) de l’inventeur de l’avion de chasse le plus connu de la seconde guerre mondiale, le Spitfire.
St. Martin’s Lane / Vedettes du pavé (1938)
Une charmante comédie, un brin amère, avec un très beau duo, Charles Laughton et Vivien Leigh en artistes des rues londoniennes. A redécouvrir !